Paradigme de la réussite des entreprises au XXIe siècle

Publié le : 19 octobre 20216 mins de lecture

Autrefois, la création d’une entreprise était une affaire simple. Un individu fabriquait ou achetait des marchandises, peignait un panneau et commençait à les vendre à partir de chez lui ou d’une brouette. Avec le temps, même la plus petite entreprise est devenue de plus en plus compliquée à gérer. Les entreprises de toutes tailles opèrent désormais dans une économie mondiale. La concurrence continue de s’intensifier. La réglementation gouvernementale est omniprésente. Les conseillers professionnels ne sont pas une option, ils sont obligatoires.

Le futur propriétaire d’entreprise du XXIe siècle doit posséder un large éventail de compétences et avoir accès à des capitaux importants. Le défi est plus grand que jamais et cette tendance va se poursuivre.

En réponse à cette évolution, de nouveaux modèles d’entreprise ont vu le jour. Ils ont évolué en réponse directe aux exigences de l’époque actuelle. Ils représentent une adaptation à un monde qui a complètement changé. Les anciens paradigmes échouent plus souvent qu’ils ne réussissent, mais ils ont encore des adeptes qui rejettent et méprisent les nouveaux venus. Ce sont les descendants de la société de la terre plate. Ils affirment que les nouveaux modèles ne sont pas de « vraies entreprises », mais des passe-temps ou même des arnaques.

Tous les nouveaux modèles commerciaux se heurtent à une résistance jusqu’à ce qu’un point de basculement soit atteint. Comme pour toute nouvelle idée ou innovation, les premiers adoptants sont confrontés au mépris et au ridicule, mais les idées qui réussissent non seulement survivent mais prennent progressivement de l’ampleur. Finalement, les premiers adoptants sont reconnus comme étant soit des visionnaires, soit des chanceux au bon endroit et au bon moment. Un exemple classique est le succès du phénomène des franchises. Le franchisage a failli être interdit dans de nombreuses régions du monde au cours des 20 premières années de son émergence. Le franchisage est aujourd’hui omniprésent dans tous les secteurs d’activité imaginables. Le modèle du franchisage a évolué au fil du temps, passant d’un mécanisme rudimentaire et prêt à l’emploi à un instrument de précision qui pouvait être déployé dans le monde entier avec un taux de réussite prévisible.

Le marketing de réseau approche aujourd’hui un point de basculement similaire à celui du secteur de la franchise il y a 10 ou 15 ans. Son échelle de plusieurs milliards est mal comprise par de nombreuses personnes par ailleurs bien informées. Le mythe selon lequel le marketing de réseau ou le marketing direct est en quelque sorte associé aux systèmes pyramidaux survit encore dans l’esprit de certains qui ne sont pas vraiment familiers avec la vente directe ou avec ce qui constitue un système pyramidal illégal.

Une nouvelle génération de personnes non touchées par les versions précédentes du modèle est maintenant exposée au marketing de réseau en raison de son adoption par les entreprises du Fortune 500. Pour ces organisations, il s’agit d’un moyen très efficace de distribuer des produits et des services et d’une preuve évidente que le modèle a atteint sa maturité et sa légitimité.

Cette tendance a convergé avec la reconnaissance par des millions d’individus à travers le monde que l’établissement d’une entreprise de marketing de réseau à domicile représente un moyen peu coûteux et peu risqué d’entrer dans les rangs des propriétaires d’entreprises, ou « quadrant B » tel que défini par Robert T. Kiyosaki.

On observe également une convergence avec les tendances du marché de l’emploi. La sécurité de l’emploi n’existe plus. Une proportion croissante de personnes ont été licenciées au moins une fois dans leur vie professionnelle. Ces personnes sont très réceptives aux options qui leur donneront un plus grand contrôle sur leur destin financier et sur leurs affaires personnelles.

Le marketing de réseau permet aux individus de posséder et d’exploiter une entreprise dans les heures qui suivent leur décision de s’inscrire. Pour un coût nominal, ils peuvent acquérir une entreprise dans une boîte dont le développement coûte des millions de dollars. Une entreprise qui peut être exploitée à partir d’une chambre et d’un PC d’appoint.

Le distributeur indépendant a non seulement la possibilité de vendre les produits de l’entreprise sur un marché mondial, mais il a également le droit d’accorder des licences à d’autres personnes pour qu’elles fassent de même et de recevoir un pourcentage permanent sur leurs volumes, c’est-à-dire un revenu résiduel ou passif. Il s’agit d’une avancée majeure par rapport au modèle de franchise, qui est non seulement plus restrictif, mais qui dépend de la relation traditionnelle employeur/employé pour obtenir un effet de levier sur la productivité et les revenus.

Le modèle de marketing de réseau a considérablement évolué au fil des décennies. Les nouveaux arrivants se sont attaqués aux difficultés des entreprises pionnières. Ils ne sont pas gênés par les plans de compensation hérités qui ont rendu quelques personnes énormément riches au détriment du plus grand nombre. Ces entreprises mettent l’accent sur la formation, la fidélisation et la récompense précoce de la réussite. Elles font de l’indépendance financière un objectif qui peut être atteint par une grande classe moyenne de distributeurs dans un délai de 1 à 3 ans.

Les distributeurs ne sont plus tenus de détenir des stocks ou de livrer des produits. Tous les aspects de la gestion des stocks, de la livraison et du paiement sont gérés par l’entreprise. La responsabilité du distributeur indépendant est de se concentrer sur l’augmentation du volume des produits passant par leurs organisations respectives à l’aide d’une technologie internet sophistiquée, mais sans obligation de personnel ou de locaux.

Selon les termes du Dr Stephen R. Covey : « Je pense que le marketing de réseau est arrivé à maturité. I

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